Etape 2 : L’Alpe d’Huez – Serre Chevalier

Un départ technique depuis les hauteurs

Au lever du jour, les participants se sont élancés depuis les sommets de l’Alpe d’Huez pour entamer cette deuxième étape. Dès les premiers instants, un gymkhana audacieux a mis leur habileté à rude épreuve. Ce défi technique, sinueux et exigeant, permettant à chacun de démontrer toute la finesse de son pilotage.

Des lacets vertigineux vers Vaujany

Les moteurs ont ensuite vrombi dans la descente mythique des lacets de l’Alpe d’Huez, offrant un ballet mécanique spectaculaire. La route les a mené vers les hauteurs de Vaujany, petit écrin de montagne où les attendait un moment de répit bien mérité. Le déjeuner, servi à l’hôtel-restaurant « Le V », a marqué une parenthèse gourmande au cœur de l’Oisans.

L’ascension vers les cimes de légende : Croix-de-Fer, Mollard, Télégraphe, Galibier et Lautaret

Après ce moment de convivialité, la route a repris ses droits. Les estomacs pleins, les équipages se sont attaqués aux lacets exigeants du col de la Croix-de-Fer, suivis par ceux du col du Mollard. Ces ascensions majestueuses, ponctuées de panoramas à couper le souffle, les a lentement conduit vers la vallée de la Maurienne, témoin silencieux de l’héritage industriel alpin.

L’après-midi a ensuite offert aux participants un véritable festival de cols mythiques. Le col du Télégraphe a ouvert le bal, prélude à la majestueuse montée du Galibier, point culminant de ce rallye. Là-haut, les murs de neige frôlaient les capots et les cœurs battaient à l’unisson face à tant de grandeur. Enfin, la descente par le col du Lautaret avait mené la caravane jusqu’à Serre Chevalier.

Repos alpin avant la grande descente vers le Sud

C’est dans l’élégance feutrée du Grand Hôtel de Serre Chevalier que les équipages ont trouvé refuge pour la nuit. Une halte bien méritée, avant l’ultime étape qui les conduira, le lendemain, vers les rivages ensoleillés de la Méditerranée et l’arrivée finale à Saint-Tropez.